Qui suis-je ?
Dans l'éclat du cosmos et le murmure des étoiles, je me tiens, un humble voyageur dans les vastes étendues de l'existence. Là où certains voient une simple vie, une routine domestique, je contemple un royaume infini de possibilités, où les frontières entre la réalité tangible et les royaumes de l'énergie et de l'esprit s'estompent.
Je choisis le souffle du vent sur les hauteurs des montagnes, le frisson des feuilles dansant sous la caresse du vent, plutôt que les murs confinés de la routine. La Terre, notre mère aimante, déverse sur nous ses trésors sans fin, et je m'émerveille chaque jour de faire partie de cette symphonie éternelle, de me fondre dans l'harmonie avec Pachamama.
Dans ce monde d'énergie pure, chaque instant est une étincelle de magie, un feu d'artifice céleste illuminant notre chemin. Pour ceux qui préfèrent rester dans les eaux calmes du port, qu'ils y demeurent en sécurité. Quant à moi, l'appel du large résonne dans chaque fibre de mon être.
Dans mon univers, nous ne sommes pas en quête d'une mission, car nous sommes la mission, porteurs du message sacré de la vie elle-même. Mon horizon s'étend à perte de vue, une toile vierge où chaque pas est une création, où chaque souffle est une poésie en devenir.
Nous avons le choix entre une existence domestiquée, régie par les conventions de la société, ou l'exploration audacieuse du territoire sacré originel, où les chemins ne sont pas tracés d'avance, mais où nous avons le pouvoir de créer notre propre destinée, de laisser notre empreinte dans le sable du temps.
La vie devient alors un ballet sans fin, une danse céleste où chaque mouvement est une révélation, où chaque rencontre est une étreinte avec l'essence même de l'existence. Choisir entre une mission de vie imposée ou laisser jaillir de notre être une œuvre qui enrichit le vivant, voilà le véritable défi qui se présente à nous.
C'est en changeant notre regard, en ouvrant notre cœur aux merveilles qui nous entourent, que nous redevenons pleinement vivants. Marcher sur le réseau solaire de Viracocha, suivre la course du soleil à travers les cieux infinis, c'est là notre destinée ultime.
Mon horizon de vie se dessine là où mes pas me mènent, une aventure sans fin vers l'inconnu, où chaque porte franchie ouvre sur de nouveaux horizons, où chaque lever de soleil est une promesse renouvelée. Je n'ai pas de mission, si ce n'est celle de vivre pleinement et de danser sur l'âme du monde, au son des origines, vers un horizon de vie infini et radieux.
Je choisis le souffle du vent sur les hauteurs des montagnes, le frisson des feuilles dansant sous la caresse du vent, plutôt que les murs confinés de la routine. La Terre, notre mère aimante, déverse sur nous ses trésors sans fin, et je m'émerveille chaque jour de faire partie de cette symphonie éternelle, de me fondre dans l'harmonie avec Pachamama.
Dans ce monde d'énergie pure, chaque instant est une étincelle de magie, un feu d'artifice céleste illuminant notre chemin. Pour ceux qui préfèrent rester dans les eaux calmes du port, qu'ils y demeurent en sécurité. Quant à moi, l'appel du large résonne dans chaque fibre de mon être.
Dans mon univers, nous ne sommes pas en quête d'une mission, car nous sommes la mission, porteurs du message sacré de la vie elle-même. Mon horizon s'étend à perte de vue, une toile vierge où chaque pas est une création, où chaque souffle est une poésie en devenir.
Nous avons le choix entre une existence domestiquée, régie par les conventions de la société, ou l'exploration audacieuse du territoire sacré originel, où les chemins ne sont pas tracés d'avance, mais où nous avons le pouvoir de créer notre propre destinée, de laisser notre empreinte dans le sable du temps.
La vie devient alors un ballet sans fin, une danse céleste où chaque mouvement est une révélation, où chaque rencontre est une étreinte avec l'essence même de l'existence. Choisir entre une mission de vie imposée ou laisser jaillir de notre être une œuvre qui enrichit le vivant, voilà le véritable défi qui se présente à nous.
C'est en changeant notre regard, en ouvrant notre cœur aux merveilles qui nous entourent, que nous redevenons pleinement vivants. Marcher sur le réseau solaire de Viracocha, suivre la course du soleil à travers les cieux infinis, c'est là notre destinée ultime.
Mon horizon de vie se dessine là où mes pas me mènent, une aventure sans fin vers l'inconnu, où chaque porte franchie ouvre sur de nouveaux horizons, où chaque lever de soleil est une promesse renouvelée. Je n'ai pas de mission, si ce n'est celle de vivre pleinement et de danser sur l'âme du monde, au son des origines, vers un horizon de vie infini et radieux.
« C'est dans les choses simples qu'on se retrouve soi-même,
Éternel Apprenti.
Là où la conscience humaine n'est plus, il s'y balade
Découvre les innombrables créations du monde stable
Au jardin des artistes, l'humanité est un paradis
Quand on prend le temps de regarder la création d'autrui
Surtout quand c'est l'équilibre dans le chaos qui s'exprime
La vie nous abîme quand on la subit
L'éternel apprenti préfère son harmonie »
Rockin’Squat – Éternel apprenti
Éternel Apprenti.
Là où la conscience humaine n'est plus, il s'y balade
Découvre les innombrables créations du monde stable
Au jardin des artistes, l'humanité est un paradis
Quand on prend le temps de regarder la création d'autrui
Surtout quand c'est l'équilibre dans le chaos qui s'exprime
La vie nous abîme quand on la subit
L'éternel apprenti préfère son harmonie »
Rockin’Squat – Éternel apprenti
Une nuit de mars 1981
Je suis endormi et comme toutes les nuits je pars voyager en rêve. Mais cette nuit-là ne sera pas comme les autres. Je me retrouve dans la vallée de la Gordolasque, juste au-dessus du village de Belvedère dans les Alpes maritimes. Je suis debout dans une prairie que je connais bien pour y aller régulièrement lorsque soudain, je suis traversé par un éclair fulgurant de la tête au pied. La lumière est aveuglante, mes cheveux se dressent sur ma tête, je suis très inquiet pour mes pieds à tel point que je me réveille d’un coup pour regarder s’ils n’ont pas été brûlés. Tout va bien mais le choc a été d’une violence inouïe. A cette époque je ne le savais pas, mais cette nuit là je suis devenu un « rêveur de tonnerre ». L’Esprit vient d’ouvrir une brèche en moi afin de pouvoir venir me visiter à sa guise.
Bonjour, je m’appelle Jean Yves Bourré et je peux dire aujourd’hui que dès l’âge de neuf ans je suis attiré par les mystères du ciel et de la terre. Le ciel parce que la nuit, je le contemple avec ma petite lunette astronomique, et la terre parce que le jour, j’observe ses humeurs météorologiques.
L’année de mes neuf ans, lors des « grandes vacances » avec mes parents, je découvre deux livres qui me pousseront à partir à la découverte des arcanes humains. En quelque sorte, je viens de percevoir l’importance de la trilogie Terre, Homme, car nous sommes tous un pont entre la Terre et le Ciel. En grandissant, cette recherche va prendre de plus de place jusqu’à cette fameuse nuit de mars 81 qui transformera définitivement ma vie en une quête.
Je m’inspire et j’apprends d’abord auprès d’amérindiens, puis autour de la Sibérie, la Mongolie, les Andes. Parallèlement je découvre les arts et pratiques chinois, et sa médecine traditionnelle en suivant un cursus à Nanjing.
Vers la fin des années 80, une femme-médecine Navajo m’invite à organiser des cercles de guérison. J’accepte cette idée après beaucoup de temps et approfondis encore mes connaissances. Je devient « Pampamesayoq » de la tradition andine puis « chaman » lors d’une cérémonie particulière en Sibérie.
Aujourd’hui, je me consacre exclusivement à être ce pont entre la Terre et le Ciel… cette quête c’est ma vie. C’est dans cet esprit que j’enseigne le chamanisme et que j’organise des voyages à la rencontre des chamans du monde entier.
A mon sens, le plus important est le lien que chacun de nous entretient – ou pas - avec la grande toile du vivant. Nous avons des choses à découvrir, à partager et à pratiquer ensemble. Alors je vous dis à très vite et au plaisir de nous rencontrer.
Je suis endormi et comme toutes les nuits je pars voyager en rêve. Mais cette nuit-là ne sera pas comme les autres. Je me retrouve dans la vallée de la Gordolasque, juste au-dessus du village de Belvedère dans les Alpes maritimes. Je suis debout dans une prairie que je connais bien pour y aller régulièrement lorsque soudain, je suis traversé par un éclair fulgurant de la tête au pied. La lumière est aveuglante, mes cheveux se dressent sur ma tête, je suis très inquiet pour mes pieds à tel point que je me réveille d’un coup pour regarder s’ils n’ont pas été brûlés. Tout va bien mais le choc a été d’une violence inouïe. A cette époque je ne le savais pas, mais cette nuit là je suis devenu un « rêveur de tonnerre ». L’Esprit vient d’ouvrir une brèche en moi afin de pouvoir venir me visiter à sa guise.
Bonjour, je m’appelle Jean Yves Bourré et je peux dire aujourd’hui que dès l’âge de neuf ans je suis attiré par les mystères du ciel et de la terre. Le ciel parce que la nuit, je le contemple avec ma petite lunette astronomique, et la terre parce que le jour, j’observe ses humeurs météorologiques.
L’année de mes neuf ans, lors des « grandes vacances » avec mes parents, je découvre deux livres qui me pousseront à partir à la découverte des arcanes humains. En quelque sorte, je viens de percevoir l’importance de la trilogie Terre, Homme, car nous sommes tous un pont entre la Terre et le Ciel. En grandissant, cette recherche va prendre de plus de place jusqu’à cette fameuse nuit de mars 81 qui transformera définitivement ma vie en une quête.
Je m’inspire et j’apprends d’abord auprès d’amérindiens, puis autour de la Sibérie, la Mongolie, les Andes. Parallèlement je découvre les arts et pratiques chinois, et sa médecine traditionnelle en suivant un cursus à Nanjing.
Vers la fin des années 80, une femme-médecine Navajo m’invite à organiser des cercles de guérison. J’accepte cette idée après beaucoup de temps et approfondis encore mes connaissances. Je devient « Pampamesayoq » de la tradition andine puis « chaman » lors d’une cérémonie particulière en Sibérie.
Aujourd’hui, je me consacre exclusivement à être ce pont entre la Terre et le Ciel… cette quête c’est ma vie. C’est dans cet esprit que j’enseigne le chamanisme et que j’organise des voyages à la rencontre des chamans du monde entier.
A mon sens, le plus important est le lien que chacun de nous entretient – ou pas - avec la grande toile du vivant. Nous avons des choses à découvrir, à partager et à pratiquer ensemble. Alors je vous dis à très vite et au plaisir de nous rencontrer.