Les Leçons de l'Eau et de la Parole |
N'oublie pas
Au sommet des Apus, où règne l'immensité, Un poème épique prend vie, chargé de vérité. « N'oublie pas la source de l'eau que tu bois », ô voyageur audacieux, Comme tu n'oublieras pas la source de tes enseignements précieux. Tel le héros, arpenteur de terres inconnues, Tu t'élances, avide de visions, d’aventures et de connaissances. Mais en ton périple, garde ton regard attentif, Car de ces deux ruisseaux coule une sagesse précieuse, Une fontaine intarissable, véritable trésor pour l’Esprit. Chaque gorgée comme chaque leçon sont sacrées L'eau qui étanche ta soif, aussi pure que rafraîchissante, Est le reflet de tes connaissances grandissantes. Chaque mot prononcé, chaque récit partagé, Est une véritable source d'inspiration. Alors rappelle-toi toujours d'où elles proviennent, De ceux qui t'ont guidé et nourri, sans peine. Dans chaque goutte d'eau, dans chaque mot gravé, Respire la grandeur, la noblesse d'un legs précieux. N'oublie pas la source de l'eau, ni celle des enseignements, Car en elles réside la clé de ton commencement. © Jean Yves |
L'Offrande Inévitable
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« Pour chacun d’entre nous, le jour viendra pour le don ultime, lorsque notre essence se donnera tout entière en offrande. Qu'il soit apprivoisé par l'effort, le travail et la douleur, ou qu'il s'épanouisse en liberté face à la splendeur des éléments sacrés, notre corps demeure et demeurera toujours l'offrande inévitable de notre existence. Peut-être à cet instant, apparaitra du cœur même de notre chair, l'Arc-en-ciel de la conscience, cette palette éblouissante de l'Esprit.
Ainsi, notre « conscience arc-en-ciel » est un voyage sans fin à travers un spectre infini d'émotions, de sentiments et de pensées. Elle est l'expression ultime de notre humanité, la toile abstraite où s'entremêlent les nuances de la vie. De l'obscurité à la lumière, des épreuves à l'émerveillement, prenons garde à ne jamais le laisser s'estomper sous la pluie des déceptions, afin que notre âme traverse le pont arc-en-ciel et retourne à son origine » © Jean Yves |
Lueur d'Espoir dans l'Obscurité des Mots Érodés
Dans l'écho lointain des mots répétés,
S'égare un message, tissé de syllabes vides,
Telles des ombres dans une ronde éthérée.
À chaque murmure redit, un sens s'effrite,
Un message fragile, dénué de rêves, vidé de pensées.
Les mots, autrefois magiques et puissants,
Se muent en cages, en murs de briques.
Dans cette geôle de phrases fanées,
Où les idées se flétrissent, étouffées, isolées,
Le cœur se tait, l'esprit se dessèche,
Sous le fardeau d'un verbe érodé.
Pourtant, dans le silence, une lueur d'espoir persiste,
Un désir ardent de briser les chaînes des mots éculés.
Pour insuffler à nouveau la vie dans la parole perdue,
Il faut oser parler, d’une âme vibrante portée d’une vision claire.
Que chaque mot devienne un univers en soi,
Un pont lancé entre les cœurs éparpillés.
Dans la valse des lettres, retrouvons la clé,
Pour entrouvrir les portes de la liberté.
Là où les mots respirent, authentiques et sincères,
Le message fleurit.
© Jean Yves
S'égare un message, tissé de syllabes vides,
Telles des ombres dans une ronde éthérée.
À chaque murmure redit, un sens s'effrite,
Un message fragile, dénué de rêves, vidé de pensées.
Les mots, autrefois magiques et puissants,
Se muent en cages, en murs de briques.
Dans cette geôle de phrases fanées,
Où les idées se flétrissent, étouffées, isolées,
Le cœur se tait, l'esprit se dessèche,
Sous le fardeau d'un verbe érodé.
Pourtant, dans le silence, une lueur d'espoir persiste,
Un désir ardent de briser les chaînes des mots éculés.
Pour insuffler à nouveau la vie dans la parole perdue,
Il faut oser parler, d’une âme vibrante portée d’une vision claire.
Que chaque mot devienne un univers en soi,
Un pont lancé entre les cœurs éparpillés.
Dans la valse des lettres, retrouvons la clé,
Pour entrouvrir les portes de la liberté.
Là où les mots respirent, authentiques et sincères,
Le message fleurit.
© Jean Yves
Féconde le Rêve
Entends-tu dans l’écho des temps anciens
Cet appel qui résonne et qui fait battre ton cœur « Féconde le Rêve » te murmurent la Terre et le Ciel Entends-tu ce chant qui traverse les Montagnes sacrées Qui galope dans les steppes et souffle dans les forets Porté par les voix des Peuples Premiers Le Rêve, ce tissu sacré de la création, Qui relie chaque être, chaque nation, Dans l'immense toile de la Vie, Où chaque fil chante son harmonie. Vois les ancêtres qui marchent dans les songes Leurs pas tracent des chemins qui longent Les rivières des légendes oubliées Là où la Terre et le Rêve sont éternellement liés Les animaux, gardiens de ces mystères, Parlent dans le souffle des airs, Les arbres, anciens et majestueux Chantent dans le vent, silencieux. Dans les flammes du Feu sacré danse l'Esprit, Et les Peuples Premiers, autour, réunis, Partagent leurs chants, leurs danses et leurs rêves, Fécondant l'avenir, par leurs cœurs qui s'élèvent. Dans chaque étoile, un ancêtre, une histoire, Un fragment de mémoire, un espoir. Vois comme la Voie Lactée qui traverse l’infini Est le miroir des rêves, tissé pendant la nuit. « Féconder le Rêve », c'est honorer la vie, C'est écouter la Mère, c'est suivre l'harmonie, Se souvenir que nous sommes tous liés, Dans ce grand Mystère, où tout a commencé. © Jean Yves |
Mongolie...
Dans la danse des mots, la poésie se déploie,
Laisse-moi te traduire ces vers, ô noble émoi.
Du pays des steppes, une langue ancienne,
Où résonnent les murmures de la steppe mongole.
Comme un souffle de vent sur la plaine sans fin,
Les mots s'envolent et dessinent un chemin.
Les montagnes majestueuses se dressent dans le ciel,
Et les rivières coulent en un chant éternel.
Les esprits anciens murmurent à travers les siècles,
Les cieux bleus embrasent l'horizon, sacré réceptacle.
Les héros vaillants sillonnent les terres sans peur,
Dans la quête de vérité et d'une vie meilleure.
Au nord, au sud, à l'est et à l'ouest,
Le chant des aigles résonne, fier et céleste.
Les vastes prairies s'étendent à perte de vue,
Et le soleil dore les visages, les rendant émus.
Les chevaux galopent, libres et puissants,
Leur crinière flottant au vent, tels des géants.
Les dunes dansent avec légèreté,
Et les échos des chants nomades résonnent avec beauté.
La culture se dévoile dans chaque geste,
La sagesse des ancêtres illumine la quête.
Dans la richesse des traditions et des coutumes,
Les Mongols célèbrent leur héritage avec plume.
Le lien avec la nature est profondément ancré,
Dans chaque souffle, chaque pas, chaque regard émerveillé.
Les esprits des ancêtres veillent avec bienveillance,
Guidant les pas des Mongols sur la voie de la résonance.
Dans le chant des oiseaux et le murmure du vent,
Dans le battement de cœur de chaque instant,
La voix de la Mongolie résonne, fière et puissante,
Portant en elle l'âme d'un peuple vaillant et vibrant.
Ainsi, je te livre ces mots, tels des trésors précieux,
La poésie des steppes, telle une brise qui s'émeut.
Dans le langage des cœurs, les émotions s'enchaînent,
Et la beauté de la Mongolie, éternelle, se déchaîne.
Que le monde entende cette voix, pure et authentique,
La voix de la Mongolie, l'écho d'une culture unique.
Que les mots résonnent, porteurs d'une histoire à chérir,
Car la grandeur de la Mongolie ne peut se tarir.
Auteur inconnu. En hommage à la belle Mongolie.
Que ces mots révèlent un aperçu de sa grandeur, et que sa poésie continue d'illuminer les cœurs.
Photo : © Jean Yves (Mongolie)
Laisse-moi te traduire ces vers, ô noble émoi.
Du pays des steppes, une langue ancienne,
Où résonnent les murmures de la steppe mongole.
Comme un souffle de vent sur la plaine sans fin,
Les mots s'envolent et dessinent un chemin.
Les montagnes majestueuses se dressent dans le ciel,
Et les rivières coulent en un chant éternel.
Les esprits anciens murmurent à travers les siècles,
Les cieux bleus embrasent l'horizon, sacré réceptacle.
Les héros vaillants sillonnent les terres sans peur,
Dans la quête de vérité et d'une vie meilleure.
Au nord, au sud, à l'est et à l'ouest,
Le chant des aigles résonne, fier et céleste.
Les vastes prairies s'étendent à perte de vue,
Et le soleil dore les visages, les rendant émus.
Les chevaux galopent, libres et puissants,
Leur crinière flottant au vent, tels des géants.
Les dunes dansent avec légèreté,
Et les échos des chants nomades résonnent avec beauté.
La culture se dévoile dans chaque geste,
La sagesse des ancêtres illumine la quête.
Dans la richesse des traditions et des coutumes,
Les Mongols célèbrent leur héritage avec plume.
Le lien avec la nature est profondément ancré,
Dans chaque souffle, chaque pas, chaque regard émerveillé.
Les esprits des ancêtres veillent avec bienveillance,
Guidant les pas des Mongols sur la voie de la résonance.
Dans le chant des oiseaux et le murmure du vent,
Dans le battement de cœur de chaque instant,
La voix de la Mongolie résonne, fière et puissante,
Portant en elle l'âme d'un peuple vaillant et vibrant.
Ainsi, je te livre ces mots, tels des trésors précieux,
La poésie des steppes, telle une brise qui s'émeut.
Dans le langage des cœurs, les émotions s'enchaînent,
Et la beauté de la Mongolie, éternelle, se déchaîne.
Que le monde entende cette voix, pure et authentique,
La voix de la Mongolie, l'écho d'une culture unique.
Que les mots résonnent, porteurs d'une histoire à chérir,
Car la grandeur de la Mongolie ne peut se tarir.
Auteur inconnu. En hommage à la belle Mongolie.
Que ces mots révèlent un aperçu de sa grandeur, et que sa poésie continue d'illuminer les cœurs.
Photo : © Jean Yves (Mongolie)